Câblage en aluminium

Qu’est-ce que le filage d’aluminium?

À partir des années 1960 jusqu’à 1970, le coût du cuivre ayant fortement augmenté, les électriciens ont dû se tourner vers le câble d’aluminium pour faire le filage électrique résidentiel à moindre coût.
L’avantage du fil d’aluminium est qu’il est moins cher et beaucoup plus léger que le cuivre.
C’est d’ailleurs pour ces raisons qu’il est encore utilisé sur le réseau d’Hydro-Québec et aussi par plusieurs électriciens pour l’alimentation principale des maisons et des gros consommateurs d’énergie, qui nécessite d’être alimentée par de plus gros conducteurs.

Ce type de câblage est encore permis dans les installations électriques mais il nécessite d’être installé et manipulé avec précaution et avec les connaissances nécessaires à une installation conforme et sécuritaire.

Le désavantage du filage d’aluminium est qu’il est plus flexible et plus cassant que le cuivre, qu’il s’oxyde rapidement avec l’humidité, avec l’air, l’eau et aussi lorsqu’il est en contact avec d’autres conducteurs comme le cuivre (c’est pour cela qu’on utilise un composé anti-oxydant quand on fait des connexions avec du fil d’aluminium).
À puissance égale, il nécessite une section généralement plus grosse que le cuivre. (Voir tableau code électrique du bâtiment).
Le dernier point mais le plus important, il nécessite d’être utilisé avec de l’appareillage (prise, interrupteur, disjoncteur, marrette, bornier…) compatible pour ce type de filage-là.
Lorsque l’appareillage est compatible, on retrouve la mention (AL/CU) sur le produit.

Alors pourquoi si ce filage-là est sécuritaire, les assureurs refusent de vous assurer ou augmentent leurs primes d’assurance et demande des certificats de conformité électrique?

Quand il n’est pas utilisé avec de l’appareillage compatible, l’aluminium s’oxyde au point de connexion, joint et raccord sur l’appareillage. L’oxydation est un mauvais conducteur. L’électricité ayant du mal à passer à cause de l’oxydation, cela crée un échauffement localisé sur la vis, les capuchons isolants (marrette) ou la connexion électrique.
L’échauffement s’il n’est pas repéré à temps, provoquera un incendie.

Dans ce cas, la prise utilisée n’était pas compatible pour l’aluminium car les métaux (vis et fils) sont différents.

Il aurait fallu utiliser le modèle de la photo suivante, mais l’écart de prix entre une prise pour cuivre et une prise compatible aluminium Al/Cu est telle que les utilisateurs ont préféré mettre une prise standard pour le fil de cuivre.

Ces installations ayant plus de 60 ans, depuis le jour où elles ont été faites, ont eu de nombreuses modifications (changement de prises, interrupteurs, luminaires, thermostats, ajout de circuits…). Bien souvent, ces petites modifications ont été faites par des propriétaires ou des personnes qui ne connaissent probablement pas les contraintes liées au câble d’aluminium.

Il y a eu beaucoup d’incendies au fil des années liés au filage d’aluminium. C’est pourquoi les compagnies d’assurances ont dû revoir leurs primes d’assurances à la hausse et dans certains cas, refuser complètement d’assurer celui-ci.

Comment reconnaitre le filage d’aluminium ?

En cas de doute sur le type de câblage utilisé dans votre maison, Kilowatt Électrik vous conseille de demander à un Maître électricien d’en faire l’inspection.

Le radon

Le radon est un gaz radioactif qui provient de l’uranium naturellement présent dans la croûte terrestre. Le radon se trouve dans le sol, partout à la surface de la Terre. La quantité de radon dans le sol peut varier de façon importante d’un endroit à l’autre. Le radon peut aussi se trouver dans les eaux souterraines.

Le radon peut s’infiltrer dans les bâtiments, surtout par les fondations. Il peut parfois s’accumuler et atteindre des concentrations qui peuvent entraîner un risque pour la santé. Comme c’est un gaz qui n’a pas d’odeur, de goût ou de couleur, il est impossible de le détecter par les sens.

Effets sur la santé

Le radon pénètre dans les poumons avec l’air que l’on respire. Les grandes organisations et les agences de santé internationales ont reconnu que le radon est un agent cancérogène. Il émet un rayonnement radioactif qui peut, à long terme, causer le cancer du poumon.

Le radon est la deuxième cause de cancer du poumon, après le tabagisme. C’est aussi la première cause de cancer chez les non-fumeurs. Au Québec, de 10 à 16 % des décès par cancer du poumon sont associés au radon. Il s’agit de plus de 1000 décès par année. Parmi ces décès :

  • 60 % surviennent chez les fumeurs;
  • 30 % chez les anciens fumeurs;
  • 10 % chez les non-fumeurs.

Le risque de cancer du poumon lié au radon augmente avec :

  • la concentration du radon : plus une personne est exposée à une concentration élevée de radon, plus son risque de cancer augmente;
  • la durée de l’exposition au radon : le risque de cancer augmente pour une personne qui est exposée au radon pendant plusieurs dizaines d’années;
  • le tabagisme : les fumeurs exposés au radon ont plus de risques d’avoir un cancer du poumon que les non-fumeurs.

Le radon ne cause pas :

  • de troubles respiratoires, comme la bronchite chronique et l’emphysème;
  • d’allergies;
  • d’asthme;
  • de malformations congénitales.

Repérer les sources de radon dans un bâtiment

Les concentrations de radon sont généralement très faibles à l’extérieur. Le radon se dilue rapidement dans l’air ambiant et, de ce fait, il ne cause pas de problème de santé.

Le radon peut cependant s’infiltrer dans l’air intérieur des bâtiments, par différentes ouvertures :

  • les planchers en terre battue;
  • les fissures de la dalle de béton ou des murs des fondations;
  • les puisards;
  • les vides sanitaires;
  • les joints;
  • les ouvertures autour des conduits d’évacuation et des entrées de service, par exemple les raccords de tuyauterie;
  • les robinets, surtout celui de la douche. Les robinets peuvent en effet constituer une voie d’entrée pour le radon provenant d’eaux souterraines riches en radon. Ils peuvent ainsi contribuer à faire augmenter la concentration de radon dans l’air intérieur d’une maison.

Source : Ressources naturelles Canada  

Le radon s’accumule principalement dans les pièces les plus basses et les moins ventilées d’un bâtiment, par exemple le sous-sol. La concentration de radon dans l’air intérieur d’une habitation peut dépendre de plusieurs facteurs :

  • la concentration d’uranium et de radon dans le sol;
  • le climat;
  • la ventilation des lieux;
  • l’étanchéité et l’isolation de la maison;
  • la pression négative, c’est-à-dire le fait que la pression d’air soit moins grande à l'intérieur du bâtiment qu'à l'extérieur. Cette différence de pression a pour effet de transformer l’habitation en une sorte d'aspirateur. Le radon peut alors s'infiltrer par les fissures et les autres points d’entrée qui sont en contact avec le sol

Le seul moyen de savoir s’il y a du radon dans une habitation est de le mesurer.

Mesurer la concentration de radon dans une résidence

Pour connaître la concentration de radon dans votre habitation, il faut la mesurer à l’aide d’un appareil de mesure appelé dosimètre. Il est conseillé de faire cette mesure pendant une période d'au moins 3 mois et d'effectuer la mesure de radon durant l'hiver. Vous pouvez mesurer la concentration de radon dans votre maison vous-même ou recourir aux services d’un professionnel.

Ne vous fiez pas aux résultats des tests effectués dans une maison voisine de la vôtre ou dans d’autres habitations de votre quartier. En effet, la concentration de radon peut varier beaucoup entre les maisons, même si elles sont proches les unes des autres.

Pour mesurer vous-même la concentration de radon dans votre maison, vous devez vous procurer un dosimètre et l’utiliser en suivant les directives du fabricant. Vous devrez débourser environ 45 $ pour acheter un dosimètre et pour faire analyser les résultats par un laboratoire.

Pour vous procurer un dosimètre, vous pouvez :

  • le commander sur le site de l’Association pulmonaire du Québec , qui offre des dosimètres certifiés et approuvés par Santé Canada;
  • consulter le site de CAA Québec Habitation , qui fournit les informations pour se procurer un dosimètre;
  • vous procurer une trousse d’analyse du radon dans l’air dans certaines quincailleries.

Pour obtenir une liste de professionnels certifiés en mesure du radon au Québec, vous pouvez utiliser l’outil de recherche du Programme national de compétence sur le radon au Canada  (PNCR-C). Ce programme de certification est reconnu par Santé Canada et par le ministère de la Santé et des Services sociaux du Québec.

Mesures à prendre si la concentration de radon dépasse la ligne directrice canadienne

Le radon se mesure en becquerels par mètre cube d’air (Bq/m³).

Il existe au Canada une ligne directrice qui indique que la concentration de radon à ne pas dépasser dans une habitation est de 200 Bq/m³. En général, la concentration de radon n’est pas très élevée dans les maisons au Québec. La concentration moyenne de radon dans les sous-sols est d’environ 35 Bq/m³. Toutefois, les concentrations peuvent parfois atteindre des niveaux très élevés, jusqu’à plus de 1 000 Bq/m³.

Mesure de protection individuelle

Si vous fumez, la première chose à faire pour vous protéger contre le cancer du poumon dû au radon est de cesser de fumer. C’est la façon la plus rapide et la moins coûteuse de diminuer le risque de cancer du poumon associé au radon. En effet, une personne qui s’expose à la fois à la fumée du tabac et au radon augmente de beaucoup ce risque.

Mesures correctives pour votre résidence

Santé Canada recommande de prendre des mesures correctives lorsque la concentration moyenne annuelle de radon dépasse les 200 Bq/m³ dans les espaces occupés d’une habitation. Si c’est le cas dans votre maison, vous devez donc prendre des mesures, que vous soyez fumeur ou non.

Le délai recommandé pour apporter les correctifs dépend de la concentration moyenne de radon dans votre maison :

  • si la concentration dépasse 600 Bq/m³, vous devriez apporter les correctifs dans un délai de moins d'un an;
  • si la concentration se situe entre 200 Bq/m³ et 600 Bq/m³, vous devriez apporter les correctifs dans un délai de moins de 2 ans.

Vous obtiendrez de meilleurs résultats en appliquant plus d’une mesure corrective. Par exemple, vous pouvez :

  • colmater les fissures de la fondation;
  • sceller les ouvertures en contact avec le sol;
  • vous assurer que les puisards sont couverts et ventilés vers l’extérieur;
  • améliorer la ventilation de votre maison, particulièrement au sous-sol.

Si les concentrations de radon dans l’habitation sont très élevées, ces mesures ne suffiront peut-être pas, car elles n’empêchent pas complètement l’infiltration du radon. Dans ce cas, il faut faire appel à un entrepreneur qualifié. Celui-ci installera un système qui permet d’évacuer le radon présent sous les fondations avant que celui-ci pénètre dans les espaces habitables du bâtiment.

Santé Canada recommande aux personnes qui prennent des mesures correctives de tenter de faire diminuer la concentration de radon au plus bas niveau possible. C’est pourquoi il est recommandé de mesurer de nouveau la concentration de radon après avoir appliqué des méthodes correctives, afin de vérifier leur efficacité.

Plusieurs entreprises spécialisées peuvent vous aider à faire diminuer la concentration et les infiltrations de radon dans votre maison. Il est très important de faire affaire avec une entreprise certifiée. Vous pouvez consulter la liste de ces entreprises sur le site du Programme national de compétence sur le radon au Canada  (PNCR-C) de Santé Canada.

Mesures pour les nouvelles constructions

Lors de la construction d’une nouvelle maison, vous pouvez demander à votre entrepreneur d’utiliser des techniques d’atténuation pour réduire au minimum l'infiltration de radon dans la maison. Au besoin, ces techniques peuvent aussi être appliquées pour faciliter l'élimination du radon une fois la maison construite. Toutefois, il est plus simple et moins coûteux de le faire au début de la construction.

Sites d'intérêt

Sources possibles d’amiante dans une habitation

Source : Figure adaptée du Workers' Compensation Board de la Colombie-Britannique

  1. Feutre, papier de construction et bardeau de toiture
  2. Isolant soufflé, friable, en vrac (ex. : vermiculite)
  3. Carreaux d’insonorisation (tuiles acoustiques) ou plafond insonorisant
  4. Panneau de soffite
  5. Membrane sous-plancher
  6. Mastic autour des fenêtres
  7. Boîte de prise de courant et d’interrupteur
  8. Revêtement de murs et de plafonds (ex. : stucco) composé de remplissage et de retouches de panneaux de gypse
  9. Recouvrement de sol : carreaux (tuiles) de vinyle, feuilles de linoléum, adhésifs de revêtement
  10. Isolation sur les fils électriques
  11. Isolation sur les tuyaux
  12. Panneau électrique principal et boîte de fusibles
  13. Appareil de chauffage central (fournaise), chauffe-eau (matériau d’isolation, ruban adhésif, joints d’étanchéité)
  14. Carreaux d’insonorisation (tuiles acoustiques) ou plafond insonorisant
  15. Foyer, poêle à bois (base, écran thermique)
  16. Support d’appareil d’éclairage (luminaire)
  17. Revêtement extérieur (ex. : stuc, revêtement d’amiante-ciment)
  18. Gouttière en amiante-ciment

Isolation à la vermiculite

La vermiculite est un isolant qui se présente sous forme de granules dont la couleur varie de l’argent-or au gris-brun. Elle était autrefois utilisée pour isoler les entre-toits (greniers, entre-toits avec trappe d’accès, mansardes, etc.) des maisons. Certains isolants de vermiculite commercialisés entre 1920 et 1990 peuvent contenir des fibres d’amiante. Si votre entre-toit contient de la vermiculite ou si vous soupçonnez que ce soit le cas, assurez-vous de :

Précautions générales à prendre en présence d'amiante

Ce sont les fibres d’amiante présentes dans l’air qui constituent un risque pour la santé des personnes qui y sont exposées. Les matériaux qui contiennent de l’amiante et qui sont en bon état ne libèrent pas de fibres dans l’air et sont donc généralement sans danger.

Les matériaux contenant de l’amiante peuvent libérer des fibres dans l’air :

Évitez de manipuler les matériaux qui contiennent de l’amiante et qui sont en bon état. Vérifiez régulièrement s'ils sont usés ou endommagés.

Faites appel à un entrepreneur qualifié si les matériaux sont en mauvais état, s’ils sont friables ou si vous voulez faire des travaux sur des matériaux contenant de l’amiante.

Précautions à prendre lors de rénovations

Dans le doute, faites vérifier si les matériaux contiennent de l’amiante
La vérification doit commencer par une inspection visuelle minutieuse du bâtiment. Comme cette inspection n’est pas simple à faire soi-même, elle doit être réalisée :

En cas de doute, il est préférable de traiter le matériau comme s’il contenait de l’amiante et de suivre les recommandations décrites appropriées pour ces matériaux.

En présence d’amiante, confiez les travaux à un entrepreneur qualifié.

N’exécutez jamais les travaux vous-même si l’inspection a révélé la présence de matériaux contenant de l’amiante, quels que soient ces matériaux. Confiez plutôt la tâche à un entrepreneur que vous aurez choisi avec soin. Celui-ci exécutera les travaux de manière à éviter la libération de fibres d’amiante dans l’air de votre domicile. Cela limitera beaucoup les risques pour votre santé et celle des autres occupants.

Vérifications à faire avant l'achat d'une propriété

Avant d’acheter une maison, demandez au vendeur si la propriété que vous comptez acheter contient de l’amiante. Vous pouvez aussi vérifier le formulaire Déclarations du vendeur sur l’immeuble, qui doit être utilisé dans le cadre de la vente d’un immeuble résidentiel. Ce formulaire contient des questions relatives à la présence de produit isolant pouvant contenir de l’amiante, comme la vermiculite.

Qu’est-ce que l’ocre ferreuse?

L’ocre ferreuse est le résultat d’une réaction chimique ou d’un processus biologique, les deux pouvant se produire individuellement ou simultanément :

Lorsque le processus biologique vient s’ajouter à la réaction chimique, l’effet d’oxydation est considérablement augmenté.
Dans les deux cas, le résultat est la formation d’un dépôt visqueux sur les parois des drains rainurés. C’est ce dépôt que l’on nomme ocre ferreuse.

Comment l’ocre ferreuse se manifeste-t-elle?

Le développement de cette matière est plus probable dans un sol plus aéré, comme les sols sablonneux contenant du silt, et moins probable dans un sol argileux.
La réaction chimique ou biologique est également plus rapide :

Sous l’action de l’ocre ferreuse, même le gravier concassé perd ses propriétés filtrantes. Les sols riches en fer et en ferrobactérie produiront indéfiniment des dépôts ferreux.

Quelles sont les conséquences de la présence d’ocre ferreuse?

L’ocre ferreuse cause plusieurs problèmes touchant les bâtiments. En effet, elle :

Peut-on éliminer l’ocre ferreuse ou empêcher le développement de la bactérie?

Le fer est présent naturellement dans le sol. Il est donc très difficile de l’éliminer. Même en remplaçant le sol au pourtour du bâtiment, le fer provenant des sols avoisinants migrerait à nouveau vers le drain de la propriété par ruissellement naturel de l’eau.

Pour empêcher le développement de la bactérie, il faudrait faire disparaître du sol les deux éléments naturels que sont l’eau et l’air, ce qui est impossible.
Il n’est donc pas envisageable d’empêcher la réaction chimique qui crée l’ocre ferreuse.

Comment prévenir l’ocre ferreuse et comment faire face à sa présence?

On peut prévenir l’ocre ferreuse avant ou après la construction.

Avant la construction

La vigilance est de mise s’il y a des signes précurseurs comme la présence, après une pluie, d’eau rougeâtre dans les fossés ou en surface.
Lors de la construction d’une propriété, il est recommandé d’effectuer auprès des voisins et de la municipalité une vérification des antécédents du secteur concernant le risque de formation d’ocre ferreuse.

Une évaluation des conditions actuelles devrait être réalisée avant de procéder à la construction. Cette évaluation, effectuée par un professionnel, établira :

Le résultat de cette évaluation permettra à l’entrepreneur de construire le bâtiment en évitant les effets de la formation de l’ocre ferreuse.
Les adaptations peuvent toucher les éléments suivants :

Si l’emplacement de la construction demeure à risque, il est recommandé d’aménager deux cheminées de nettoyage afin de permettre le nettoyage du drain si nécessaire.

Après la construction

La vigilance est de mise s’il y a des signes précurseurs tels qu’un taux important d’humidité au sous-sol, une inondation récente ou la présence d’eau rougeâtre dans les fossés ou en surface après une pluie.

Les correctifs possibles à apporter aux bâtiments existants afin d’atténuer les symptômes de l’ocre ferreuse varient selon l’emplacement. Elles peuvent nécessiter :

Exemple de correctif en procédant par l’extérieur

Exemple de correctif en procédant par l’intérieur

Quels sont vos recours?

La Régie du bâtiment du Québec (RBQ) recommande aux nouveaux acheteurs ainsi qu’aux constructeurs de maisons de s’informer auprès de la municipalité afin de vérifier si l’emplacement de la future maison est propice à la formation d’ocre ferreuse. Le cas échéant, des mesures préventives pourront être prises.

La RBQ vous rappelle qu’on ne peut empêcher le processus de formation de l’ocre ferreuse. Elle recommande aux propriétaires aux prises avec ce problème de consulter un professionnel ou un entrepreneur détenant une licence appropriée, qui pourra en éviter ou en minimiser les effets.